Le suicide.

C’est tellement facile d’en finir,

De ne plus du tout souffrir,

De ne plus se soucier de son avenir,

On se sent prêt à partir,

Une simple envie, un simple désespoir,

Et jamais plus vivant on pourra vous revoir,

Plus aucune souffrance,

Pour certaines personnes ce serait la délivrance,

Une chance pour le paradis

Même si on laisse beaucoup de chose ici.

Certaines personnes ne vivent que pour leurs amis et leur famille

Pour éviter à leur proches qu’ils tristes

Ils tiennent tellement à ce que c’est garde leur sourire,

Qu’il en oublie parfois leur envie de mourir,

Mais cette envie revient toujours

Même quand on reçoit beaucoup d’amour,

C’est comme un démon qui vous suit,

Et qui vous empêche de découvrir

Tout ce que la vie a, à vous offrir

Alors si un jour cela vous arrive

Je vous demande de survivre

Et de regarder en face tout ce qui vous attend

Car la chance vous attend peut-être au tournant.

L’humain.

Celui qui est censé être plus intelligent que tous les autres,

Celui qui d’un geste commet un meurtre,

Celui qui peut aimer, protéger et chérir,

Celui qui peut tuer, détester et détruire,

Celui qui élimine ses semblables,

Celui qui a ses frères et ses sœurs fait du mal,

Celui qui juge à l’apparence,

Celui qui rêve de la fontaine de jouvence,

Celui qui est plein de vanité

De convoitise pour qui il pourrait tuer,

Le voilà celui qui est si intelligent,

Celui qui est supérieur à tous les êtres vivants

Il n’est que le meurtrier le plus grand

Le plus bête et le plus infidèle au sien de tout son temps

Nous causons notre propre perte

Et de nous bientôt il ne restera plus

Qu’une immense pleine déserte

Vengeance du monde qui ne nous est pas dévolue.

La mort.

Un jour viendra

Ou mon heure arrivera

Tu me prendras par la main

M’enlevant tous ses bonheurs  incertains

Je ne pourrais dire au revoir

A tout ceux qui en moi ont pu croire

Et je t’accueille à bras ouvert

Je ne serais pas rancunière

De toute les choses que toi tu me feras manquer

De tous mes bonheurs que tu me feras oublier

Car en échanges tu m’offre une liberté

Celle de ne plus jamais souffrir, ni pleurer.

Mon ange gardien.

Depuis que tu es là,

Je ne pense qu’à toi,

Tu ensoleille ma vie,

A chaque fois que tu souris,

Et quand tu me prends dans tes bras,

Le danger ne me guette pas,

Pour tout ce que pour moi tu as fait,

Ma vie, entre tes mains je remets,

Tu guide chacun de mes pas,

Mes réussites, mes exploits

Et j’espère qu’encore une fois tu souris

Car moi je te dis merci.