La mort.
Un jour viendra
Ou mon heure arrivera
Tu me prendras par la main
M’enlevant tous ses bonheurs incertains
Je ne pourrais dire au revoir
A tout ceux qui en moi ont pu croire
Et je t’accueille à bras ouvert
Je ne serais pas rancunière
De toute les choses que toi tu me feras manquer
De tous mes bonheurs que tu me feras oublier
Car en échanges tu m’offre une liberté
Celle de ne plus jamais souffrir, ni pleurer.